En l’an 2010, l’épopée épique de Momodora débuta, mais ce fut en l’an 2016 que son troisième opus, Momodora : Reverie Under the Moonlight, forgea une légende. Le cinquième scellera le destin de cette saga fantastique.
Momodora : Moonlit Farewell, le cinquième opus de ce Metroidvania tel que souvent décrit mais qui manque cruellement du panache du maître jeu, parachèvera l’épopée du personnage des trois premières œuvres (la quatrième ayant été une parenthèse dans la série). Momo, grande prêtresse, se dresse dans sa quête pour le salut de son peuple, résistant aux hordes démoniaques. Cinq années après les événements du troisième opus, nous nous aventurerons pour découvrir les mystères d’une cloche énigmatique, responsable de l’invasion démoniaque qui menace le village et l’arbre sacré, après les 13 coups de minuit.
Les joueurs familiers ne seront pas déstabilisés par le gameplay caractéristique des précédents jeux, qui comprend des combats rapprochés et à distance, l’utilisation d’un arc et de flèches, un système de sceaux pour adapter son style héroïque, et la présence de petits compagnons adorables. De plus, différents niveaux de difficulté offrent la possibilité d’explorer l’univers du jeu quelques soit son niveau de jeu.
Tout de même un mot sur la réalisation, digne de l’époque des consoles 16 bits ou de certains jeux windows 95, c’est pixellisé, volontairement old school. Seulement voilà, si vous avez encore quelques jeux d’aventures d’époque a tester ou a terminer, ils n’auront rien a envier a Momodora : Moonlight farewell pour les meilleurs d’entre eux.
