Super Crazy Rhythm Castle, c’est un peu comme si vous étiez invité à une fête où le rythme est roi, l’humour est le maître de cérémonie et les mini-jeux sont les invités surprises. Avec une playlist aussi variée qu’un buffet de desserts, il y en a pour tous les goûts. Vous pouvez vous déhancher sur “Gold” de Lizzy Ashliegh, “I Got Money” de James Nagel, ou “Hippo & Frog”. Mais attention, l’entrée à cette fête coûte 39,99 €, ce qui peut sembler un peu cher pour une soirée.
Vous vous retrouvez dans une aventure aussi folle que son nom l’indique. Vous prenez le contrôle d’une bande de personnages improbables, prêts à défier le roi Ferdinand, un monarque complètement fou qui a une obsession pour le rythme. Votre mission, si vous choisissez de l’accepter, est de renverser ce roi du rythme. Mais bien sûr, le roi ne se laissera pas faire si facilement. Vous devrez surmonter ses défis tordus pour le vaincre.
Le gameplay de SCRC est comme une danse bien chorégraphiée. Vous devez frapper les notes entrantes tout en jonglant avec des défis qui vont de la construction de minions, à la lutte contre un DJ aubergine géant ou encore à lancer des haricots dans un ancien rituel d’invocation. C’est un peu comme essayer de danser le tango tout en jonglant avec des pommes. C’est difficile, mais c’est aussi très amusant. Cependant, le jeu peut-être réellement difficile pour les danseurs solitaires.
Entre les séances de valse effrénées, le jeu vous invite à faire une petite balade dans le château. Ici, vous jouez au détective, résolvant des mystères pour avancer. Ces casse-têtes sont comme la cerise sur le gâteau, ajoutant une dimension supplémentaire au gameplay.
Heureusement, le jeu offre également un mode coopération locale ou en ligne jusqu’à 4 joueurs. C’est comme une danse en groupe où chaque joueur contrôle son propre personnage et peut jouer sa musique en mode 3 ou 4 boutons. Si vous n’êtes pas à l’aise avec les jeux de rythme, vous pouvez vous concentrer sur la résolution des énigmes pendant que vos amis s’occupent de la musique.
En ce qui concerne les graphismes, SCRC n’est peut-être pas le plus beau danseur de la salle, mais il a du style. Les graphismes ne sont pas particulièrement impressionnants, mais ils sont parfaitement stylisés pour un jeu de rythme, en gros, c’est un peu comme porter un costume de pingouin pour une soirée déguisée : ce n’est pas le plus élégant, mais ça fait le travail.
